Ce mot mal compris et qui enferme ...

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Bien qu’elle mine notre intérieur d’énergies négatives, il n’en reste pas moins que pour s’infiltrer en soi, il a fallu des brèches, failles, causées par des blessures de l’enfance, traumas, mémoires transgenerationnelles &/ou karmique

L’addiction souvent pointée du doigt dans les familles, poussent les gens à rester dans le déni & rejeter leur blessure car c’est vu comme de la honte.

Et cela va appuyer encore plus sur la blessure de ces personnes, qui vont encore plus s’isoler en se sentant abandonné par les proches et encore moins demander d’aide, puis peuvent se retrouver par dépit à aller vers des personnes similaires (bien-sur toxique) pour se sentir acceptée.

Bref c’est un cercle ultra vicieux qui peut mélanger plein de blessures à la fois.

Qui dit addiction dit aussi mal être, souffrance

Combler un vide immense par quelque chose en excès

Donner à cette blessure la contenance pour qu’elle s’apaise sauf que cela n’a jamais résolu le problème. Au contraire ça creuse le vide encore plus profond dans l’âme.

Selon mon opinion, il y a toujours un lien remontant à une mémoire transgenerationnelle d’un ancêtre (abus, inceste, viol, humiliation, etc..), puis en découlent des blessures qui vont engendrer un comportement addictif.

Tant qu’il n’y a pas prise de conscience de cette mémoire, par loyauté les descendants vont continuer à véhiculer cette dette d’addiction dans les lignées. Cela peut être très violent

Histoire récente : une personne qui a appartenu à la mafia, a vendu de la drogue, fait des choses pas net, cela se reproduira sur sa descendance, sous forme d’addiction ou autre.

L’idée n’est pas d’incriminer mais de pratiquer le détachement, non jugement. Cette personne a fait du mieux qu’il a pu avec les ressource qu’il avait à l’instant T.

En outre, si on retrace, & bien cet homme qui a fait ça a probablement eu des événements de l’enfance qui l’on mener a endosser cette mémoire & ainsi de suite dans les ancêtres jusqu’à remonter à l’origine de la mémoire de l’addiction.

Vous avez banalisé ce mot mais il reste des résidus, & si c’était dû à une vielle mémoire familiale ?